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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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L'après-de Gaulle : Notes confidentielles 1969-1989

30/10/2010 11:38

L'après-de Gaulle : Notes confidentielles 1969-1989


L'après-de Gaulle : Notes confidentielles 1969-1989

De Jean Mauriac  

 

Broché: 540 pages 

Editeur : Fayard

Edité le : 6 septembre 2006 

Collection : Littérature généraliste 

ISBN-10: 2213627657 

ISBN-13: 978-2213627656  

 

Présentation de l'éditeur 

Jean Mauriac est entré à l'AFP en 1944, ou il a effectué toute sa carrière de journaliste politique. Affecté dès la Libération auprès du général de Gaulle, il ne l'a plus quitté jusqu'à son départ du pouvoir en avril 1969, occupant à son côté durant vingt-cinq ans une place de témoin privilégié. Très lié à la famille gaulliste, le fils de François Mauriac est resté jusqu'à la fin de sa carrière, en 1988, l'ami et le confident de la plupart des grandes figures de la Ve République d'Olivier Guichard à Jacques Chaban-Delmas, de Raymond Barre à Michel Jobert. Son livre est issu des multiples entretiens " confidentiels " qu'il eut, de 1969 à 1989, avec les principaux acteurs des septennats de Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand. Racontant de l'intérieur les grandes péripéties politiques qui ont marqué l'histoire de cette période, il nous plonge au cour des drames et des conflits qui ont déchiré les gaullistes après le départ du Général. L'après de Gaulle fourmille de révélations sur l'affrontement de Gaulle-Pompidou, les véritables raisons de la défaite de Chaban en 1974, la guerre Giscard-Chirac et les complots du RPR qui ont facilité, en 1981, l'arrivée de la gauche au pouvoir ainsi que sur l'histoire de la première cohabitation. Chronique de toutes les dérives qui ont conduit à la déliquescence de nos institutions, l'ouvrage de Jean Mauriac exprime à la fois la nostalgie et la colère d'un gaulliste qui assiste au retour du régime des partis, au jeu effréné des ambitions et des trahisons, à l'effacement imposé des gaullistes authentiques au profit des clans et des appareils. Témoignage politique de premier ordre, ces " notes confidentielles " apparaissent aujourd'hui d'une saisissante actualité.  

 

Biographie de l'auteur 

Historien et écrivain, Jean-Luc Barré a collaboré à l'édition des Mémoires du général de Gaulle dans la Pléiade. Auteur, entre autres, de Devenir de Gaulle (Perrin, 2003), il a publié aux Editions Fayard en 2005 une biographie très remarquée de Dominique de Roux. Il prépare une biographie de François Mauriac. 






Jean-Luc Mélenchon suit-il la bonne stratégie ?

29/10/2010 18:06

Jean-Luc Mélenchon suit-il la bonne stratégie ?


La question pourra paraître surprenante tant le chef du Parti de Gauche s’impose dans les médias et également comme présidentiable en vue de l’élection de 2012. Cependant, il ne faut pas confondre la force du bruit produit avec sa pertinence.

Une stratégie qui maximise le bruit

On parle de plus en plus de Jean-Luc Mélenchon. Ses fréquentes foucades contre les journalistes arrivent même au paradoxe de faire parler de lui en son absence. Il faut dire qu’il les multiplie depuis six mois entre sa critique d’un jeune journaliste qui lui posait une question sur les maisons closes, les qualificatifs de « larbin » et « salaud » employés contre David Pujadas ou l’expression de « perruches et métronome » pour parler de trois journalistes femmes reçues par Michel Denisot.

A priori, cette stratégie peut sembler habile. En effet, les journalistes ne sont pas forcément très appréciés et devenir leur tête de turc présente l’avantage de faire (beaucoup) parler de soi. En outre, comme le souligne Marianne, ces attaques peuvent le servir en renforçant son statut de défenseur du peuple contre les élites politico-médiatiques. Cette posture, sur laquelle François Bayrou a joué en 2007, le place au centre du jeu politique et pourrait l’amener à un beau score en 2012.

Une stratégie à double tranchant

Mais comme le souligne Marianne, le « coup de gueule permanent », s’il permet de faire du bruit, n’est pas sans limite et peut parfois lui permettre de se passer de « délivrer un message cohérent et constructif ». Pire, même s’il délivre parfois un tel message, il y a fort à parier que seules ses foucades parviennent aux oreilles des citoyens. Cela pourrait bel et bien le réduire à une sorte de chroniqueur politique qui défend les petits contre les puissants, sans perspective d’arriver au pouvoir.

Bref, en multipliant les déclarations cinglantes, Jean-Luc Mélenchon pourrait au final devenir un autre idiot utile du système (au même titre que le Front National ou le NPA), c'est-à-dire un leader qui capte une part importante de l’électorat sans espoir de devenir une véritable alternative de gouvernement du fait d’un discours, qui, s’il séduit fortement une partie de l’électorat, prend le risque d’être trop réduit à ses excès pour être une alternative crédible de gouvernement.

Une leçon pour les alternatifs ?

La situation des candidats alternatifs (DLR, MRC, PG) est très compliquée. D’un côté, nous avons le besoin d’émerger médiatiquement, ce qui est grandement facilité par des déclarations fracassantes et très critiques, qui retiennent davantage l’attention. Mais de l’autre, on peut se demander si le fait d’être réduit à des foucades, qui peuvent être vues comme excessive par la majorité, ne fait pas de nous les idiots utiles du système qui divertissent sans pouvoir rien changer.

La difficulté est d’autant plus grande que la plupart des militants apprécient beaucoup les déclarations tonitruantes qui sont prises comme de la sincérité et l’illustration nécessaire des souffrances d’une grande partie de la population. Une trop grande modération peut être interprétée comme un manque de conviction ou une faiblesse. Pourtant, un discours plus policé est aussi le moyen de convaincre d’autres citoyens et de pouvoir un jour rassembler une majorité derrière nos idées.

Les foucades de Jean-Luc Mélenchon plaisent sans doute beaucoup à une minorité de l’électorat, mais s’il s’enferme dans un tel registre, il est probable qu’il ne pourra jamais convaincre une majorité de Français de l’envoyer à l’Elysée. D’ailleurs, il ne donne pas vraiment l’impression qu’il en a réellement envie et on peut se demander si son rôle de chroniqueur alternatif et vitupérant de la vie politique ne représente pas pour lui l’horizon indépassable et même souhaitable de sa carrière.

La stratégie actuelle de Jean-Luc Mélenchon est sans doute très efficace pour émerger médiatiquement. Mais en se cantonnant dans un rôle de critique acerbe du pourvoir au détriment de sa capacité de proposition, il risque de se transformer en nouvel idiot utile du système…

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Tarifs EDF : le symbole de la faillite d’une politique

28/10/2010 21:52

Tarifs EDF : le symbole de la faillite d’une politique


Hier matin, François Baroin, ministre du budget, a confirmé la prochaine et nouvelle hausse des tarifs d’EDF, sous couvert cette fois du Grenelle de l’Environnement. En cinq mois, les tarifs auront progressé de près de 7%, pour le plus grand bonheur de la bourse et des actionnaires
Pourquoi les prix montent
Cette nouvelle hausse des tarifs donne raison à Pierre Gadoneix, ancien patron d’EDF, qui avait demandé mi-2009 une augmentation des tarifs de 20%, précipitant sa chute et son remplacement par un proche du président. Les raisons invoquées pour les hausses de tarif sont toujours relativement nobles : investissement pour financer le parc nucléaire, compensation pour le rachat d’électricité photovoltaïque auprès des ménages ou des entreprises.
Mais ce discours politiquement correct camoufle d’autres raisons : le besoin de financer le rachat d’entreprises étrangères, le financement de dépenses de communication en hausse du fait de la libéralisation, la compensation de la perte subie par la vente en gros d’électricité aux nouveaux acteurs ou enfin le besoin d’augmenter les profits pour plaire à la bourse. On en arrive à la situation où les consommateurs paient pour subventionner la libéralisation !
Rupture de service public
Quand on pense que les partisans de la libéralisation des services publics affirment que la déréglementation doit se faire au bénéfice des consommateurs, par des prix plus bas. On constate bien tous les jours qu’il s’agit d’une fumisterie qui ne correspond en rien à la réalité. Comme le rapporte la Dépêche, le projet de libéralisation (acceptée par les socialistes) aboutit à une accélération de l’augmentation des prix d’EDF, sans aucun bénéfice pour le consommateur final.
La libéralisation du marché de l’énergie va mettre fin à l’exception Française d’un service public de qualité, universel et à bas coût. C’est un nouveau cas d’école qui démontre que le dogmatisme néolibéral de la Commission Européenne ne se fait pas au bénéfice de l’intérêt général. Il ne profite qu’à la bourse et aux actionnaires. Ces hausses de prix sont d’autant plus surprenantes que le groupe EDF a dégagé quatre milliards de résultats net en 2009…
Cette nouvelle hausse des tarifs démontre à nouveau toute la perversité de la libéralisation des services publics voulues par Bruxelles et soutenue par le PS et l’UMP. Merci à Nicolas Dupont-Aignan d’en avoir souligné toute l’injustice dans un papier bien senti.
Laurent Pinsolle





L’Etat régalien asphyxié

28/10/2010 14:10

L’Etat régalien asphyxié


Hier après-midi, les trois commissions, lois, défense et finances auditionnaient le ministre de l’Intérieur sur le budget de la sécurité. Il suffisait d’écouter pour comprendre l’impasse dans laquelle s’est placé le gouvernement. D’un côté un ministre qui se veut plein de bonnes intentions, de l’autre une contrainte budgétaire qui réduit ses moyens et le condamne à l’échec.
Brice Hortefeux l’a d’ailleurs reconnu lui-même en répétant que son ministère ne pouvait pas s’exonérer de la règle de la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP), à savoir le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, partant à la retraite. Pour seule ligne de défense il n’a cessé de marteler que nous aurons fin 2010 autant de policiers et de gendarmes qu’en 2000. Mais il a oublié de dire qu’entre 2002 et 2006, les effectifs avaient cru de plus de 10 000.
A l’époque, Nicolas Sarkozy avait d’ailleurs bien compris que, pour être crédible, il faut que les actes suivent les mots. Mais depuis 2007 une véritable politique de démantèlement de l’Etat régalien a fait perdre ces 10 000 agents. Or, comment croire que notre Etat puisse relever les défis de la délinquance de 2010 avec les effectifs insuffisants du gouvernement Jospin (assez critiqué d’ailleurs à l’époque par la majorité).
Des violences de plus en plus aiguës, des exigences juridiques de plus en plus complexes (réforme de la garde à vue), des ambitions multiformes : la tâche demandée aux policiers et gendarmes est irréalisable avec chaque année 2000 à 3000 agents de moins.
Le découragement des forces de police et de gendarmerie, qui ont payé cher de leur vie leurs missions au service de la collectivité nationale (17 victimes en 2009), va prendre de l’ampleur. Ce ne sont pas les 1500 adjoints de sécurité qui vont régler le problème tant leur manque de formation est un handicap. Les violences, les trafics de drogue et les mafias vont malheureusement prospérer.
Et le renfort ne va pas venir du ministère de la Justice ! Hier après-midi aussi, aux questions d’actualité, Mme Alliot-Marie a sèchement renvoyé dans ses buts un député UMP qui demandait, comme moi, la réduction des remises de peine automatiques qui aboutissent à libérer les condamnés à seulement la moitié de leur peine. Jamais notre pays n’a été, dans les faits, aussi schizophrène. Un discours de sévérité d’un côté et une politique pénale laxiste de l’autre. Des objectifs de diminution de la délinquance pour la police d’un côté et des moyens en peau de chagrin de l’autre.
Ce décalage, ce fossé béant entre les discours et les décisions s’explique pour la simple raison que nos dirigeants n’ont plus la maîtrise du navire. Ce sont les agences de notation qui gouvernent la France.
La politique économique récessive décidée par les commissaires de Bruxelles entraîne la France dans le déclin économique, les délocalisations, le chômage de masse, la perte de recettes fiscales et donc les déficits. Dans leur logique, il faut donc toujours plus réduire des dépenses, et même s’attaquer à l’Etat. C’est sans fin, car cette réduction des dépenses ne permet pas de combler les déficits puisqu’au même moment, les recettes s’effondrent. Tout cela pour payer des intérêts d’emprunt à des banques privées ou des particuliers pour des sommes toujours plus extravagantes, alors même que si nous n’avions pas abandonné le pouvoir de battre monnaie, nous pourrions investir en empruntant auprès de la banque centrale à un taux zéro.
Quand comprendra-t-on qu’il faut enfin changer de cap économique ? Tout miser pour relocaliser l’emploi et donc rétablir nos recettes. Cela veut dire du courage politique. Le courage de renoncer aux dogmes de l’euro, du libre échange déloyal, etc...
Nous en reparlerons, je vous le promets. En attendant les retraites diminuent, les commissariats se vident, les hôpitaux des petites villes ferment, etc…
Mais dans le même temps se lève un espoir. Celui de la révolte du bon sens contre la technocratie, celui de la France contre l’internationalisme, et du courage contre la lâcheté.
C’est cet espoir que je vous invite à venir partager le 21 novembre prochain à Paris, à l’occasion de notre grand Congrès au cours duquel je lancerai ma campagne présidentielle pour 2012, pour l’indépendance et la liberté de la France.
NDA







EDF : Baroin confirme l'augmentation de 3% des tarifs de l'électricité

28/10/2010 11:09

EDF : Baroin confirme l'augmentation de 3% des tarifs de l'électricité


Baroin confirme l'augmentation de 3% de l'électricité début 2011  

 

Le ministre du Budget, François Baroin, a confirmé mercredi l'augmentation de trois pour cent des tarifs de l'électricité attendue début 2011, qui doit alléger le fardeau financier pour EDF du rachat de l'énergie solaire

AFP-27/10/2010 

"C'est confirmé", a déclaré François Baroin, interrogé sur Europe 1. 

"C'est une déclinaison du Grenelle de l'environnement, qui, lui-même, est une déclinaison de la plateforme de Nicolas Hulot", a-t-il défendu, faisant valoir que Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy avaient tous les deux soutenu cette plateforme lors de l'élection présidentielle de 2007. 

Cette nouvelle augmentation de la facture d'électricité, après une précédente en août dernier, portera la hausse des tarifs à plus de six pour cent sur six mois, soit l'une des plus fortes depuis 30 ans. 

Le 15 août dernier, les tarifs avaient déjà été augmentés de trois pour cent pour les ménages, la plus élevée depuis juillet 2003. 

La hausse de janvier prochain résulte d'un amendement au budget 2011, soutenu par le gouvernement, qui prévoit d'augmenter la "contribution au service public de l'électricité", une taxe payée par chaque consommateur pour financer le développement de l'électricité photovoltaïque.

Afin de soutenir les énergies vertes encore peu compétitives, EDF est obligé de racheter l'électricité produite par des panneaux solaires à un tarif jusqu'à 10 fois plus élevé que son prix sur les marchés de gros. 






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